Les travaux réalisés à l’université contribuent à l’un des projets les plus vastes et les plus importants de ces cinq dernières années. Nous en sommes très reconnaissants et envisageons l’avenir avec espoir.
Fiche récapitulative
Second phase Investment Programme for the extension and development of the University of Cyprus campus.
The next phase of building development and refurbishment will be implemented over the coming years to ensure that the buildings are of high quality and enhance the research, teaching and social learning space in the University. The objectives are: • Support research and innovation, • Deliver a high quality student experience, • Invest to provide consistently high-quality infrastructure and equipment.
Universities and research institutions are not specifically mentioned in the annexes I and II of the EIA Directive 2011/92/EU and therefore do not require a mandatory Environmental Impact Assessment. However, parts of the investment cover the construction of new facilities and therefore may be covered by Annex II of the Directive in relation to urban development. The Bank's services will verify during appraisal whether an EIA is required for any component of the project.
The Bank will require the Promoter to ensure that contracts for the implementation of the project have been/shall be tendered in accordance with the relevant applicable EU procurement legislation (Dir. 2004/18/EEC/ or 2004/17/EEC and Dir. 2007/66/EC), with publication of tender notices in the EU Official Journal, as and where appropriate.
Documents
À la une
Au cœur du projet
Pourquoi et comment
Plus d’innovation et plus d’emplois
Pourquoi
- Économie de la connaissance dans le secteur de l’éducation
- Cohésion : aligner Chypre sur les autres économies de l’UE
- Action en faveur du climat grâce à l’efficacité énergétique
- Contribution exceptionnelle aux objectifs stratégiques de la Commission européenne pour prévenir les migrations après la crise financière
Comment
- Les infrastructures actuelles sont trop petites pour permettre une augmentation du nombre d’étudiants. L’université de Chypre ne peut accepter qu’un tiers des candidatures qu’elle reçoit. En offrant des places à ces étudiants, ce projet leur permettra de rester à Chypre, ce qui renforcera l’économie de la connaissance du pays.
- L’augmentation des installations de recherche donne un coup d’accélérateur à Chypre comme centre de recherche
- Une meilleure éducation se traduit par plus d’innovation et moins de chômage
- Une construction efficace en énergie permettra à l’université de fonctionner entièrement à l’énergie solaire
Secteurs et pays
Regarder la vidéo
0:53

Ce prêt a permis à l’université de Chypre de rêver et d’avoir une vision d’avenir pour son développement. Partant d’une situation de crise, il a ouvert des perspectives. Je suis convaincue que l’université peut être à l’origine du progrès, que c’est l’endroit où l’on donne de l’espoir à la société.
Sur le même sujet
Comment apprendrez-vous à l’avenir ?
Un emploi pour moi : un projet européen unique pour Chypre
L’Université de Chypre aide le pays à se relever
Projets et articles associés
A gateway gets back on its rails
The Durrës-Rrogozhinë rail link in Albania is part of a 1 500-kilometre rail transport network connecting the Adriatic and Black seas.
Stocker l’énergie du soleil de Chypre
Un nouveau programme qui aidera l’île à exploiter le potentiel de l’énergie solaire bénéficie de subventions de l’UE et de l’assistance de la BEI
Macédoine du Nord : le financement de l’action en faveur du climat progresse dans le cadre du programme GFS
Dans le cadre du programme Greening Financial Systems (GFS) consacré à l’écologisation des systèmes financiers, une étude de marché a été menée auprès de plus de 300 moyennes et grandes entreprises intervenant dans des secteurs clés en Macédoine du Nord afin d’évaluer les pratiques en matière de durabilité, l’exposition au risque climatique et le développement de la finance verte. L’enquête fait ressortir un niveau insuffisant de connaissance du concept d’économie verte : seuls 7 % des entreprises sondées se considèrent comme des experts, tandis que le concept est totalement inconnu pour 30 % d’entre elles. En dépit de cette lacune, plus d’un quart des entreprises interrogées perçoivent l’avantage concurrentiel et la croissance des revenus comme des bénéfices clés de la transition vers des pratiques plus écologiques. L’éclairage apporté par les entretiens et les groupes de réflexion sert de base à l’élaboration d’un cadre de publication d’informations sur les risques climatiques pour les banques, qui devrait être achevé d’ici la fin de 2025.