Jonathan Taylor, vice-président de la BEI, lors des réunions annuelles 2017 du FMI et de la Banque mondiale

Comment les banques nationales et multilatérales de développement peuvent-elles mobiliser davantage d'investissements privés pour réaliser les objectifs de développement durable ? Selon Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI : « Nous devons mettre en place une collaboration plus innovante et accroître la confiance réciproque dans le processus d’instruction. »

Efficacité de la coopération au développement

S’exprimant à la table ronde « Des milliards aux milliers de milliards : le rôle des banques nationales de développement » à l’occasion des réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale du 13 octobre, Ambroise Fayolle a expliqué que cette collaboration renforcée faisait déjà la différence : « Comme en témoigne l’initiative de délégation réciproque entre la Banque européenne d’investissement, l’Agence française de développement et la Kreditanstalt für Wiederaufbau (KfW) », a-t-il déclaré.

L’initiative de délégation réciproque permet aux promoteurs de projets d'investissement réalisés dans des pays partenaires de l'UE et cofinancés par les trois institutions de développement de bénéficier d'une capacité de financement accrue grâce à une répartition structurée du travail.

 

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