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  • Cette troisième édition se déroulera à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du 18 au 20 octobre 2022.
  • Le sommet est organisé par la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque européenne d’investissement (BEI), en partenariat avec l’Agence française de développement (AFD), la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB) et la Cassa Depositi e Prestiti (CDP).
  • L’événement est également accessible en ligne : www.eib.org/fics-reg

La troisième édition du sommet Finance en commun se tiendra à Abidjan (Côte d’Ivoire) du 18 au 20 octobre 2022 sous le thème « Une transition verte et juste pour une relance durable ». Le sommet est accueilli pour la première fois par deux grandes banques multilatérales, la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque européenne d’investissement (BEI), en partenariat avec l’Agence française de développement (AFD), la Cassa Depositi e Prestiti (CDP) et la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB). Il réunira l’ensemble de la coalition Finance en commun, composée de plus de 520 banques publiques de développement à travers le monde et de leurs parties prenantes, notamment des organisations internationales et régionales, des entreprises du secteur privé, des organismes philanthropiques et des représentants de la société civile et de la communauté universitaire.

À la veille de la COP 27, où des avancées seront attendues de la part des acteurs financiers, le troisième sommet Finance en commun sera l’occasion de souligner le rôle clé des banques publiques de développement dans l’appui à la transformation des économies et des systèmes financiers vers la durabilité, tout en répondant aux besoins les plus urgents des pays en développement et des groupes vulnérables.

Par l’intermédiaire de neuf événements de haut niveau, ce troisième sommet permettra d’aborder l’importance du financement d’actions communes dans les domaines de la résilience et de l’adaptation, des infrastructures vertes et de qualité ainsi que de la santé et de la protection sociale, tout en soutenant une approche fondée sur les droits humains et le combat contre les inégalités.

En amont de l’événement, Werner Hoyer, président de la BEI, a déclaré : « La crise énergétique entraîne des changements structurels importants pour tous les pays, quel que soit leur niveau de revenus. Ces changements s’accompagnent d’énormes besoins en matière d’investissement. Dans le même temps, les prix élevés de l’énergie entraînent un ralentissement de l’économie mondiale et des investissements, à un moment où ceux-ci sont plus que jamais nécessaires. Aucune institution ne peut à elle seule répondre à ces besoins d’investissement colossaux, ni combler toutes les lacunes en matière de connaissances qui font la réussite des projets. Une seule solution s’offre à nous : travailler en partenariat. Je me réjouis à l’idée d’explorer de nouvelles façons de collaborer avec l’ensemble des banques publiques de développement à l’occasion de la troisième édition du sommet Finance en commun. »

« La crise de la sécurité énergétique et alimentaire, à laquelle s’ajoutent les effets persistants des trois facteurs aggravants que sont les changements climatiques, la pandémie de COVID-19 et le conflit (la guerre menée par la Russie en Ukraine), rend la réalisation des objectifs de développement durable encore plus difficile. En tant que banques multilatérales de développement et banques publiques de développement, nous partageons la responsabilité collective qui consiste à trouver d’urgence des moyens nouveaux et créatifs pour combler le déficit de financement mondial de 2 500 milliards d’USD afin d’atteindre ces objectifs d’ici 2030 », a déclaré Akinwumi Ayodeji Adesina, président du Groupe de la Banque africaine de développement.

« Alors que le monde est confronté à de multiples crises, de la pandémie de COVID-19 à la guerre en Ukraine, et à ses répercussions sur l’économie mondiale, l’énergie et la sécurité alimentaire, nous devons unir nos forces et financer des solutions à grande échelle. C’est l’objectif de Finance en commun — la communauté de toutes les banques publiques de développement, aux niveaux multilatéral, régional et national, qui se réunit pour la troisième fois à Abidjan cette semaine. En renforçant la coopération technique et financière, je crois que nous pouvons collectivement contribuer à réformer le système financier mondial et libérer les milliers de milliards de dollars d’investissements nécessaires à l’atteinte des ODD », a déclaré Rémy Rioux, président du comité exécutif de Finance en Commun, président de l’International Development Finance Club (IDFC) et directeur général de l’Agence Française de Développement.

Représentants de haut niveau disponibles pour des entretiens :

  • Werner Hoyer, président de la Banque européenne d’investissement
  • Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque européenne d’investissement
  • Thomas Östros, vice-président de la Banque européenne d’investissement
  • Rémy Rioux, président du comité exécutif de Finance en commun, président de l’International Development Finance Club (IDFC) et directeur général de l’Agence française de développement
  • Adama Mariko, secrétaire général de Finance en commun
  • Kevin Urama, économiste en chef et vice-président chargé de la gouvernance économique et de la gestion des connaissances, Banque africaine de développement
  • Kevin Kariuki, vice-président chargé de l’électricité, de l’énergie, des changements climatiques et de la croissance verte, Banque africaine de développement
  • Beth Dunford, vice-présidente chargée de l’agriculture et du développement humain et social, Banque africaine de développement
  • Solomon Quaynor, vice-président chargé du secteur privé, des infrastructures et de l’industrialisation, Banque africaine de développement
  • Hassatou N’Sele, vice-présidente chargée des finances et cheffe de la direction financière, Banque africaine de développement
  • Marie-Laure Akin-Olugbade, vice-présidente chargée du développement régional, de l’intégration et de la prestation de services, Banque africaine de développement

Pour toute demande d’entretien, veuillez contacter les personnes indiquées ci-dessous.

Veuillez vous inscrire afin de participer à l’événement en présentiel ou en ligne : www.eib.org/fics-reg

Lire le dossier de presse « Finance in Common 2022 » : https://financeincommon.org/press-room

Programme pour la presse [EN]

Informations générales

À propos de la BEI

La Banque européenne d’investissement (BEI) est la banque de l’Union européenne. Détenue par les États membres de l’UE, elle met à disposition des financements à long terme en faveur d’investissements de qualité qui contribuent à la réalisation des grands objectifs de l’UE et des objectifs de développement durable des Nations unies, en Europe et dans le reste du monde. Au cours des dix dernières années, la BEI a investi plus de 70 milliards d’EUR à l’extérieur de l’Union européenne.  Lancée en janvier 2022, BEI Monde, la nouvelle branche spécialisée du Groupe BEI, se consacre à accroître l’impact des partenariats internationaux et du financement du développement. Elle vise à favoriser des partenariats forts et ciblés au sein de l’Équipe Europe, aux côtés d’autres institutions de financement du développement et de la société civile. BEI Monde rapproche le Groupe BEI des populations, des entreprises et des institutions locales par l’intermédiaire de ses bureaux répartis dans le monde

À propos de Finance en commun :

Finance en commun est le réseau mondial qui réunit l’ensemble des banques publiques de développement et vise à aligner les flux financiers sur le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et l’accord de Paris sur le changement climatique. Il a pour but de renforcer les partenariats entre les banques publiques de développement afin d’accélérer la convergence vers des normes et des bonnes pratiques communes, de soutenir les engagements des banques à réorienter leurs stratégies vers la durabilité, et de leur donner une plus grande visibilité dans les enceintes internationales où sont débattues les questions de politique internationale. En mobilisant les banques publiques de développement et les parties prenantes essentielles, du secteur privé aux organisations de la société civile, Finance en commun entend encourager des approches plus cohérentes, afin de rendre l’ensemble du système de financement du développement compatible avec nos objectifs communs en matière de climat et de durabilité. Le secrétariat du sommet Finance en commun est actuellement situé dans les locaux de l’Agence française de développement (AFD).

Le sommet Finance en commun 2022 marque la troisième édition consécutive de cette initiative de la Fédération mondiale des institutions financières de développement (FEMIDE) et du Club international de financement du développement (IDFC), avec le soutien de tous les membres de la coalition Finance en commun, notamment les réseaux de banques publiques de développement, à savoir l’Association des institutions africaines de financement du développement (AIAFD), l’Association d’Asie et du Pacifique des institutions financières de développement (ADFIAP), l’Association latino-américaine d’institutions pour le financement du développement (ALIDE), l’Association européenne des banques publiques (AEBP), l’Association des institutions européennes de financement du développement (EDFI), l’Association européenne des investisseurs de long terme (AEILT), l’Association des institutions nationales de financement du développement des pays membres de la Banque islamique de développement (ADFIMI) et le D20-Club des investisseurs de long terme.

À propos de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution de financement du développement en Afrique. Il se compose de trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Présente sur le terrain dans 41 pays africains et disposant d’un bureau extérieur au Japon, la BAD contribue au développement économique durable et au progrès social de ses 54 États membres régionaux.